DANCE KENNEDYS fut une véritable odyssée (2001) : Une insensée, improvisée session∼répétition «live & direct» sans autre intention∼prétention que de dévorer∼dévoyer son plaisir, en brouillant∼bruyant (brouillon !) les références∼influences { multiples rapides & intrépides sonorités des années 80 ; allant de l’enregistrement «End All Discrimination» des canadiens Neos (hiver 81) à «Soul Discharge» des japonaises Boredoms (été 89)… } de trois amis mélomanes : François L’Homer ← guitare en effets —avec deux amplis, basse & guitare— + Orkhan Murat ← batterie ; Ces deux derniers jouant aussi dans la (trans)formation Tear Of A Doll + Jello Diaphragme ← microphone }…
• Vite fait, mal fait… Parfait.